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Ģ (minuscule : ģ), appelé G cédille, est une lettre additionnelle latine, utilisée dans l’écriture du letton. Il s’agit de la lettre G diacritée d’une cédille.

Pour des raisons techniques historiques de codage informatique du G cédille, celui-ci est utilisé dans l'écriture du letton pour représenter le G virgule souscrite ‹ G̦, g̦ › et sa cédille est représentée par un trait ressemblant à une virgule souscrite sous la majuscule et une virgule réfléchie suscrite sur la minuscule dans les fontes adaptées au letton.


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Ğ (minuscule : ğ), ou G bref, est une lettre latine utilisée dans l’écriture de l’azéri, du tatar, du tatar de Crimée, du turc, et dans plusieurs romanisations BGN/PCGN dont celle de l’azéri (cyrillique), du bachkir, du kazakh, du karatchaï-balkar et du tatar (cyrillique). Elle est composée de la lettre G diacritée d'une brève.

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Ĝ (minuscule : ĝ), appelé G accent circonflexe, est une lettre additionnelle latine, utilisée dans l’écriture de l’aléoute, de l’espéranto ou du toba. Il s’agit de la lettre G diacritée d’un accent circonflexe.

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(minuscule : ), ou G tréma, est un graphème utilisé comme lettre latine additionnelle dans la romanisation ALA-LC du sindhi et dans l’écriture du nawdm. Elle est formée de la lettre G diacritée d’un tréma suscrit.

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Ġ (minuscule : ġ), appelé G point suscrit, est une lettre additionnelle latine, utilisée dans l’écriture de l’arabe chypriote maronite, du buang mapos, du maltais, de l'inupiak et dans certaines romanisations ALA-LC et Romanisation ISO. Il s’agit de la lettre G diacritée d’un point suscrit.

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(minuscule : ), appelé G macron souscrit, est un graphème utilisé dans l’écriture du atsam, du gitksan, du haïda, du kwak'wala, du nisgha, du nobonob, du tagbanwa calamian, du tlingit (orthographe dʼAlaska), et du tsimshian de la côte (orthographe de Colombie-Britannique), ainsi que dans la transcription des langues sémitiques. Il s'agit de la lettre G diacritée d'un macron souscrit. Il n’est pas à confondre avec le G trait souscrit ‹ G̲, g̲ ›.

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Ǵ (minuscule : ǵ), appelé G accent aigu, est une lettre additionnelle latine, utilisée dans plusieurs romanisations dont l’ISO 9, des romanisations ALA-LC ou GENUNG, ou dans la transcription du cantonais. Il est parfois utilisé dans la romanisation de l’alphabet kharoshthi. Il s’agit de la lettre G diacritée d’un accent aigu.

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Ǧ, la lettre G diacritée d'un hatchek, est une lettre utilisé dans l'alphabet du same skolt et l'alphabet berbère latin notamment en kabyle et dans certaines translittérations. Il s’agit de la lettre G diacritée d’un hatchek.

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Ǧ̄ (minuscule : ǧ̄), appelé G caron macron, est une lettre latine utilisé dans la romanisation ISO 233-1 de l’alphabet arabe. Elle est composée d’un G diacrité d’un caron et d’un macron.

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(minuscule : ), appelé G point souscrit, est un graphème utilisé dans l’écriture de l’eyak et du tedaga, et dans certaines romanisation GENUNG. Il s'agit de la lettre G diacritée d'un point souscrit.

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(minuscule: ), appelé G accent grave, est un graphème de l’alphabet latin utilisé dans la romanisation de l’alphabet cyrillique ISO 9 ou la transcription du cantonais. Il s’agit de la lettre G diacritée d'un accent grave.

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(minuscule : ), ou G tilde, est un graphème utilisé comme lettre latine additionnelle dans l’écriture du babm (en), du mundurukú et du parentintin au Brésil, et du guarani. Elle est formée de la lettre G diacritée d’un tilde suscrit.

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(minuscule : ), appelé G tréma souscrit, est un graphème utilisé dans la romanisation de l’alphabet mandéen et dans la romanisation ArabTeX de l’écriture arabe. Elle est composée de la lettre G diacritée d’un tréma souscrit.

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Ǧ̈ (minuscule : ǧ̈), appelé G caron tréma, est un graphème utilisé comme lettre latine additionnelle dans la romanisation de l’écriture manichéenne. Il s’agit de la lettre G diacritée d’un caron et d’un tréma suscrit.

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(minuscule : ), appelé G macron, est une lettre additionnelle latine, utilisée dans l’écriture du kakabai, du kokota, du mwotlap, du sinaugoro et dans la romanisation du géorgien ISO 9984. Il s’agit de la lettre G diacritée d’un macron. Il est parfois utilisé dans la romanisation de l’alphabet kharoshthi.

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(minuscule : ), appelé G virgule suscrite, est une lettre latine utilisée dans l’écriture du st'at'imcets. Il s’agit de la lettre G diacritée d’une virgule suscrite.

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(minuscule : ), appelé G virgule souscrite, était un graphème qui a été utilisée dans une grammaire du latgalien de 1928. Il s'agit de la lettre G diacritée d'une virgule souscrite.

Il est utilisé en letton mais dans la pratique les caractères codés pour G cédille sont utilisés pour le représenter pour des raisons techniques historiques. Ce dernier a sa cédille remplacée par une virgule souscrite sous la majuscule et une virgule culbuté suscrite sur la minuscule dans plusieurs fontes adaptées au letton.

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Ġ̄ (minuscule : ġ̄), appelé G point suscrit macron, est une lettre latine utilisé dans la romanisation ISO 233-1 de l’alphabet arabe. Elle est composée d’un G diacrité d’un point suscrit et d’un macron.

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Ǵ̄ (minuscule : ǵ̄), appelé G accent aigu macron, est une lettre latine utilisé dans la romanisation de l’alphabet kharoshthi.